Tous les vins (à part le Pommard qui a surement trop froid),
présentent des arômes très francs que j’ai beaucoup appréciés.
Les rouges sont en macération carbonique.
Entre autre Cyril Alonso avait dans sa sacoche un vin, 2003, toujours en cours d’élevage. Le vin ne s’est toujours pas stabilisé et recèle encore 9g/l de sucre résiduel.
Un beaujolais en Fleurie du domaine des Rajats vinifié par Cyril Alonso.
La trépidante Elise Brignot avec un rosé Gamay/Chenin.
Catherine Vergé et des blancs qui seront se montrer tout doux en bouche.